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Comme une bouteille à la mer
6 février 2013

Suppression de mes livres parus

J'ai demandé la suppression de mes contrats aux éditions BoD (autoédition), ceux de mon recueil "Marcher à tout prix !" et "Le fleuve rougit". Les raisons sont d'une part qu'il n'y a plus de ventes et surtout qu'il m'en coûte d'entretenir leur place sur le site. Puis je vais éditer à compte d'éditeur un recueil de poésies, "La recluse", dont de nombreux textes se trouvent dans "Marcher à tout prix !"..., et je devrais retravailler la nouvelle "Le fleuve rougit" pour une possible édition à compte d'éditeur dans un recueil (cela n'est pas sûr).
Les textes de "La recluse" auront été totalement révisés de nombreuses fois à les rendre inédits.
Je ne ferai plus appel à l'autoédition, surtout de BoD, car cela me fait autant payer qu'une édition à compte d'auteur et ne rapporte pour ainsi dire rien.
Si je pouvais aussi supprimer mon roman "Comme une bouteille à la mer" chez Manuscrit, cela me plairait beaucoup puisqu'il est très cher (ils l'ont augmenté de plus de deux euros, environ 23 €), et je n'aurai jamais l'occasion de toucher les droits d'auteur, ou pas avant une dizaine d'années peut-être s'ils atteignent la somme requise par l'éditeur pour les reverser à l'auteur. Il me plairait aussi de le réécrire intégralement en le corrigeant et, qui sait, le proposer à nouveau à un "vrai" éditeur qui corrige, fait la promotion auprès des médias et reverse les droits d'auteur au moins dès qu'ils atteignent les 20 €. Beaucoup de choses changeraient, même l'histoire qui m'a conduite à l'écrire...
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Commentaires
M
Merci. J'ai fait comme pas mal sur Internet. J'ai même cru (sans garder mon manuscrit dans le fond d'un tiroir) en cet éditeur en ligne qui ne reverse pas ou peu les droits d'auteur. Il faut attendre qu'ils dépassent bien plus que cent euros... Alors que la Sacem, société bien plus importante, en reverse dès une vingtaine. Je peux le dire puisque je suis membre de la Sacem en tant qu'auteur de quelques poèmes en espagnol mis en musique par un compositeur français important.<br /> <br /> L'éditeur de mon futur recueil n'a pas une meilleure presse que les précédents, mais je vais l'essayer quand même. Il y a un assistant d'édition, et il semble qu'ils font de la promotion. Alors pourquoi pas ?<br /> <br /> Cela dit, je n'attends plus grand-chose de mes écrits. J'apprends le métier de correcteur, et peut-être que cela me sera plus profitable en freelance que l'écriture...
L
Voilà l'une des joies de ce genre d'édition. Parfois, on veut tellement que notre manuscrit sorte du tiroir qu'on est presque prêt à tout et on se jette dans ce système les yeux fermés. Tout n'y est certainement pas mauvais mais tout n'est pas bon, en effet.<br /> <br /> Courage.
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Comme une bouteille à la mer
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