12 novembre 2007
Fantaisie d’un soir lunaire (rimes libres)
La forêt, en vain je la visite, Scrutant le sol, tandis qu’autour de moi s’agitent Des papillons de toutes formes et couleurs. J’écoute la rivière, dans sa rumeur Qui me chante : « il est venu hier. ». Mais aucune trace d’homme, que de la boue et d’hostiles...